A questão do fecho das escolas de pequena dimensão e dos mega-agrupamentos, aqui e não só, passa pelos mesmos argumentos (falsos), para lá da esquerda e da direita.
"Tout doit disparaître
Là au moins, on comprend... et on en frémit : d’un côté on va « bourrer » les classes, de l’autre on va pousser à la roue des regroupements. C’est en milieu rural que les conséquences seront les plus brutales. Car c’est là où se rencontrent les plus petites structures et les classes les moins chargées - autant de « gisements d’efficience » à exploiter sans états d’âme, sans égards pour l’aménagement du territoire, l’intérêt des enfants, l’avis des parents, des élus, des enseignants... Partout où les communautés rurales ont porté leurs efforts sur l’éducation, en créant des regroupements non pas comptables mais pédagogiques, en se battant avec succès pour préserver une école qui soit à la fois de proximité et de qualité (études et chiffres le prouvent) mais aussi un lieu de vie et d’attractivité pour leur territoire, le bulldozer gouvernemental veut faire table rase. Tout doit disparaître.
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Ecole rurale, école de la réussite
Refrain connu et maintes fois éprouvé : quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage. Ainsi - et cela ne date pas de notre entrée en Sarkozie... - ceux qui veulent faire des économies comptables sur le dos de l’école et de l’avenir de nos enfants n’ont-ils de cesse de dénigrer l’école de proximité. Classe unique, classes à niveaux multiples, rôle des enseignants, moyens pédagogiques... rien ne trouve grâce aux yeux de ceux qui semblent penser que plus c’est grand, mieux ça marche. Une posture qui rappelle étrangement celle de ces technocrates qui, au nom de la « rationalisation », ont entrepris depuis des années de démanteler avec acharnement le tissu des hôpitaux de proximité, ceux-là même qui ont permis aux Français de bénéficier de soins parmi les meilleurs au monde en portant au plus près des populations l’hôpital, ses compétences et sa technicité." (Olivier Chartrain)
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